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MACR 2341. De l’équipage du Lt Harold Killian (fiche D291), du radio Theodore Simmons (fiche D203), du mitrailleur Raymond Slomowicz (fiche D204), des Sgts Donald Crawford (fiche D301) et Leroy Croy (fiche D302), également évadés.
Un des moteurs de l’appareil encourt des avaries en route vers l’objectif, que l’équipage n’atteint pas. Le pilote décide de faire demi-tour vers la base et de larguer les bombes en chemin sur des installations ferroviaires. Un autre moteur est touché par des tirs de la Flak et prend feu. Perdant rapidement de l’altitude, et malgré le lestage de tout le matériel lourd à bord, il descend si rapidement que le pilote donne l’ordre d’évacuer. Comme le pilote avait déclaré vouloir rester à bord de l’avion, les membres de l’équipage décident de rester aussi et finalement le pilote effectue un atterrissage forcé. Les hommes sont secoués, mais personne n’est sérieusement blessé. Informés par le navigateur de leur position, le groupe décide de se séparer par paires et de se diriger vers le Sud.
Caché dans la maison d’un officier de police à Amersfoort en compagnie de son pilote, Harold Killian (fiche D291). Tandis qu’ils s’y trouvaient, un bébé naquit et on le baptisa Harold Henry OTTENS. Autres helpers hollandais cités: van den BORN, FOLMER, JOKE, Jacques VRIJ.
Killian et Schultz seront les deux derniers aviateurs de Albert BIDELOT.
Pris en charge par Mr et Mme Florent BIERNAUX de Hasselt. De là, conduit vers Bruxelles.
Killian et Schultz furent ensuite menés via la France vers la Suisse où ils furent internés pendant un certain temps (la Suisse neutre n'acceptait pas les évadés alliés) avant de rejoindre leur unité en Angleterre en août 1944. |
